Je suis certaine que vous vous demandez… « C’est quoi ce titre là? »
C’est ce que je veux… Après avoir passé mes journées de dimanche et lundi à trouver mon sujet, hier j’ai réalisé une chose. La formulation de nos idées est très importante et souvent négligé.
De nos jours, on parle beaucoup de pensée positive, de visualisation ou de projection. L’idée est de focaliser , de se créé une image mentale de nos objectifs. Bref, de se voir réussir. On parle aussi de renforcement positif, ne frappe pas quand c’est mal, mais encourage quand c’est bien.
On ne doit pas négliger la force de la pensé!
Le négativisme pollue. Avez-vous déjà remarqué à quel point côtoyer des gens négatif prend de l’énergie.
Entretenir une image négative de soi, c’est assez pour finir par se trainer les pieds et être démoralisé.
Si en plus, je vous disais que le cerveau ne gère pas la formule « NE PAS » . Hé oui!
Les pictogrammes représentant les interdits sont un rond rouge traversé d’une barre. Les choses permise simplement un rond vert. Vous me direz, c’est facile à comprendre Geneviève. De vous répondre, en image oui, car notre apprentissage nous y amène. Mais ce n’est pas le cas en parole.
Lorsque nous utilisons les mots, notre cerveau doit lui même se créer des images.
Arrêtons nous 2 minutes au règle autour d’une picine :
– Ne pas plonger en eau peu profonde;
– Ne pas courir .
Je vais m’arrêter à ceux ci qui sont les plus courants.
Dans ses affirmations notre cerveau doit faire 2 choses.
1- Trouver l’image qui est courir ou plonger
2- Par la suite y superposer le rond rouge.
Ce qui reste gravé dans notre tête, c’est l’étape 1 . Pas surprenant d’en voir autant ne pas respecter les interdictions!
Si nous disions plutôt
– Marcher aux abord de la piscine;
– Plongeon permit en eau profonde.
Le cerveau crée dès le départ la bonne image.
Réfléchissez au nombre de fois ou vous refaites les même erreurs apres vous être dit » Je ne dois pas ou je ne dois plus….. »
Un exemple : Je ne dois plus me laisser aller. ( Oups… mon cerveau vien d’enregistrer « je dois me laisser aller »)
Je vais surement le refaire alors.
Reformulons: Je dois me prendre en main. ( Là j’ai plus de chance d’y arriver)
L’idée c’est de trouver l’affirmative dans la formulation de nos objectifs. Trouver ce vers quoi on veut tendre.
À force de s’y arrêter, le réflexe viendra !
J’espère qu’au prochain premier de l’an vous vous en rappellerez, votre succes en dépend peut-être!
Tout à fait d’accord…l’inconscient prend souvent le dessus du conscient 🙂
Éliminer le ‘ne pas’ ou ‘je veux pas’ etc…c’est déjà la base pour une ouverture d’esprit.
ps : Je préfère la marche à la course lol..
[…] This post was mentioned on Twitter by Petition Sante, Genevieve Labadie, Genevieve Labadie, Genevieve Labadie, Madeleine Couillard and others. Madeleine Couillard said: J'ai commenté 🙂 RT @MultiLabadie: Marcher ou ne pas courir: http://wp.me/pJFJC-au […]